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 Ma journée en tant que kidnappeuse

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2 participants
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lenaix

lenaix


Messages : 31
Date d'inscription : 01/08/2010
Age : 35
Localisation : quelquepart au pays de mon coeur

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MessageSujet: Ma journée en tant que kidnappeuse   Ma journée en tant que kidnappeuse Icon_minitimeMar 31 Aoû - 17:08

Il est une heure du matin. Je me faufile dans la rue, seulement éclairée par de vieux lampadaires. De gros nuages cachent la lune. On ne voit aucune étoiles. L'air est frais, il n'y a pas un chat. D'ailleurs la ruelle est mal éclairée. Il y a une bonne dizaine d'endroits pour me cacher si des fois quelqu'un rôde par là. Comme par exemple ce cul-de -sac plongé dans le noir. Ou encore ces buissons de l'autre côté de la route. Une bouche d'égouts qui est ouverte.

Je me sens rassurée. Tout va bien. Je ne fais qu'un repérage des lieux. Je sors mon papier sur lequel est écrit une adresse. Je suis dans la bonne rue, reste plus qu'à trouver le numéro. Je cherche donc le 32. Je suis encore au 6. La maison est donc plus loin, bien plus loin. Je marche tranquillement. Que pourrait-il m'arriver à une heure du matin. Enfin je la vois. La maison se dresse devant moi. Une bâtisse noir dans la pénombre. En tant normal, elle aurait été d'un gris clair. Toutes les lumières de la maison sont éteintes. C'est bon signe. Cela veut dire que tout le monde dort.

Je pénètre dans le jardin. Je n'entends rien. Juste le souffle du vent qui décoiffe mes cheveux. Je fais le tour de la demeure. Il y a deux étages et une porte à l'arrière, qui ferme mal. Elle n'est fermée que par un cadenas. Et en plus elle est entrouverte. Pas loin, je vois un arbre. Je grimpe dans ses branches. J'ai remarqué qu'une des branches surplombait légèrement une des fenêtres. Habilement je m'accroche à l'écorce de l'arbre et pars vers cette branche. A l'intérieur de la maison, les volets ne sont pas tirés. Je peux voir dans la pénombre quelqu'un qui dort. S'agirait-il de la personne que je cherche? Comme je ne vois pas bien, je décide d'entrer par la porte de derrière.

J'ai justement avec moi une pince que j'avais emporté au cas-où. J'avais bien fait. Ce verrou n'était pas costaud. Il se laissa facilement casser. J'avais peur que la porte grince en l'ouvrant. Heureusement pour moi, ce n'était pas le cas. Je me retrouve dans une sorte de cagibis, qui est en réalité une pièce fourre-tout. Je passe à la pièce suivante. Il s'agit du salon. Je trouve le couloir et regarde un peu les différentes pièces. Là une cuisine, ici une salle à manger, des toilettes.... Je trouve l'escalier. Lui aussi j'ai peur qu'il grince. Je regarde de plus près et je remarque que l'escalier est en béton. Il ne risque pas de grincer. Soulagée je monte silencieusement les marches. Avec mon sac sur le dos, je vais de chambre en chambre. Première pièce...fausse alerte, c'était la salle de bains. La deuxième pièce je trouve un grand lit, avec deux personnes dedans. Ce n'est toujours pas ça. Je continue. J'ouvre doucement la porte d'une autre chambre. Je suis cette fois ci dans une grande pièce, avec un bureau, un ordinateur, une bibliothèque et un lit. Je ne reconnais pas la chambre que j'ai vu depuis ma branche. Je m'approche pour être sûre de qui il s'agit. Je regarde le garçon dormir. Ce n'est pas lui. J'en suis sûre maintenant. Je retourne dans le couloir. En ouvrant la dernière porte, quelque chose me frôle. Je me retourne. Il ne s'agit que d'un chat. Je le laisse aller dans la chambre de l'autre garçon, ferme la porte, et je retourne dans la dernière pièce.

J'y vois un lit bien sûr, ainsi que un ordinateur sur un bureau, une vieille lampe de chevet posée sur une petite table en bois, une petite étagère, une armoire. Il y avait deux trois choses qui trainait par terre. Un ballon de foot, un livre, des CD. Je m'approche lentement du lit. Avec le peu de lumière du dehors, je peux voir le visage de ma proie. Ses cheveux blonds qui partaient dans tous les sens, son teint pâle, sa petite bouille endormie. Oui, c'était bien lui. Je l'avais enfin trouvé. Et à la fin de la nuit, il sera à moi...

Je m'agenouille près du lit et je sors de mon sac ce qu'il faut. Un chiffon, une bouteille remplit d'un liquide. La corde c'est pour plus tard. J'ai encore du temps devant moi. Beaucoup de temps. Je reste là un petit moment à regarder dormir celui que je vais enlever. Il a l'air exténué. J'ai l'impression d'avoir en face de moi un bébé en train de dormir. En un mot, il est mignon. Non ça ne va pas, je dois arrêter de divaguer. On m'a demander de le ramener le plus vite possible au point de rendez vous, je ne peux pas me permettre de partir dans des rêvasseries étranges. J'ouvre le flacon, et je verse du liquide sur le bout de chiffon. Je l'applique sur le nez du dormeur. Avec ça, il ne se réveillera pas avant un bon moment. Je le lève péniblement du lit. Bon sang, mais c'est qu'il est lourd lui! Je rassemble toutes mes forces et mets mon fardeau sur le dos. Je tangue sous le poids du corps que je porte. Je marche du mieux que je peux, en n'oubliant pas de faire deux trois pauses. Après une bonne heure, je suis enfin en bas. Je dois maintenant sortir de la maison. Il me faut encore une bonne grosse demi heure pour atteindre le jardin. Je me pose un moment, pour me reposer. Il est déjà trois heures du matin. Je dois faire vite. Je ré-applique un peu de potion magique endormeuse pour être sûre de ne pas avoir une mauvaise surprise en plein milieu de ma mission.

Je traverse la rue en sens inverse, et en atteignant le parc remplis d'arbres et de buissons, j'ai une idée. Je laisse mon dormeur près d'un buisson, et je le cache avec ce que je peux trouver. Des branches, des feuilles. L'ensemble est misérable, mais suffira largement à le cacher pendant un petit temps. Puis m'assurant de n'avoir rien oublié, je pars en courant vers l'endroit où j'avais laissé ma voiture. Une simple Volkswagen, mais bien pratique. Je démarre le moteur après avoir posé mon sac sur le siège copilote, et je me dirige de nouveau vers la rue mal éclairée, où j'avais laissé celui que je devais enlever.
J'y arrive. Enfin. Je me gare tout près du buisson et je descends de la voiture. Je mets le garçon dans la voiture, et me revoilà partie. Je roule, je roule, et je me retrouve à la campagne. Pas de lumière, rien que des champs, des arbres à perte de vue. Ça m'arrange. Je tourne pour mettre mon véhicule à l'arrêt, puis je fouille dans mon sac pour en sortir la corde. Avec elle, je ligote complètement le pauvre jeune homme. Il dort toujours. Au moins je ne l'entendrais pas. Ça ne me plait pas tout ça. Pourquoi ai-je accepté de faire une chose pareille? Je soupire et me remets en route. Je m'arrête à mon domicile. Au moins là j'aurais la paix. Je ne descends pourtant pas de la voiture. Je coupe le moteur, et après avoir mis des tissus à toutes les fenêtres, je m'endors, mais pas sereinement...


Vers six heures du matin je me réveille. L'aube se lève tout juste. A l'arrière, allongé sur la banquette se trouve le jeune homme. Il dort toujours. Mais avec la lumière il risque de ne pas tarder à se réveiller. Je sors de mon sac un autre chiffon et une sorte de scotch. J'avais pris avant de partir un thermos avec du chocolat chaud à l'intérieur. Il est plus que tiède et cela me convient très bien. J'attends que celui que j'ai enlevé se réveille. Comme il n'a pas l'air de vouloir ouvrir une seule paupière, je rince le récipient dans lequel j'ai bu avec un peu d'eau. Maintenant il est opérationnel pour servir de nouveau. Je regarde le paysage autour de moi. La campagne et la montagne. Non loin, il y a même un petit lac. Je m'étire pour bien me réveiller et j'entends bouger légèrement derrière moi. Je me faufile parmi les sièges pour me retrouver aux côtés de l'endormi. Je le détaillai un peu plus. Juste en attendant. Son petit nez aquilin lui procurait une bouille de gamin. Pourtant d'après ce qu'on m'a dit au téléphone, il a le même âge que moi. Je soupire, et de nouveau le garçon bouge. Cette fois, c'est sûr, il se réveille! Ce n'est pas trop tôt. J'attends, embarrassée. Il ne va pas bien réagir en se voyant ficelé comme un saucisson. Il ouvre enfin ses yeux, qui sont d'un bleu azur impressionnant. Il ne réagit pas encore très bien, le cerveau endolori par le sommeil et le somnifère que je lui ai fait respirer. Je prends mon courage à demain et je me lance.
-Bonjour!
Il me regarde, déboussolé.
-Où est ce que je suis? Pourquoi je suis attaché? Et qui êtes vous?
Il avait dit ça en se rendant peu à peu compte de sa situation. Je le vis trembler légèrement.
-Ma foi, tu es dans une voiture. Il faut que je te livre à une personne. Je suis celle qui t'a kidnappé.
Il se débat comme il peut, avant de crier
-Faites moi sortir de là!
-Désolée, mais ce n'est pas possible. Tu veux boire quelque chose?
Il ne me répond même pas, trop occupé à essayer de défaire ses liens.
J'essaye de le calmer. Je le comprends un peu. Moi non plus je n'aimerai pas être dans cette situation. Je prends le thermos et lui montre.
-Tu veux boire un chocolat chaud? J'en ai gardé pour toi.
Comme il se calme un peu, je verse le chocolat dans ce que j'avais utilisé un peu avant. Puis je l'approche de sa bouche.
Il refuse de boire.
-Pas question, il y a là dedans quelque chose pour me faire dormir, c'est ça?!
-Non... Pour lui prouver, j'en bois un peu. Il me regarde, puis accepte finalement. Il n'a rien bu depuis la veille. Après quoi, il se débattit de nouveau en hurlant pour qu'on le relâche. J'essaye de le faire taire, mais finalement je dois en venir à ce que je ne voulais pas faire.

Je prends le chiffon. Il sait très bien ce que je vais faire. Au moment où je m'approche de lui, il se tait. Mais dès que je m'éloigne il se remet à crier. Je me rapproche. Plus rien. Il a décidé de ne pas se faire bâillonner. Très bien. Il ne va pas avoir le choix. Je m'approche, applique ma main avec le chiffon sur sa bouche et lui pince le nez. Il finit par ouvrir la bouche pour pouvoir respirer, et j'en profitai pour lui mettre le bout de tissu. Après quoi je lui mit aussi du scotch. Au moins, cette fois c'était sûr, il ne pouvait plus parler.
Il était déjà sept heures trente. Il fallait que je me mette en route le livrer à ceux qui devaient me payer pour ça. Je remis la voiture en marche et me rendit à notre lieu de rendez-vous. Un endroit loin de toute ville et village, quelque part dans la montagne, pas loin d'un lac. En arrivant, je vis un gros bonhomme avec un costard et un autre plus fin et plus grand, habillé lui aussi en costard. Les deux étaient bruns. Je pris de nouveau mon courage et regarda vers l'arrière de la voiture. Le jeune homme se débattait encore et toujours, les yeux révulsés, mais il ne pouvait pas bouger. Je lui lançai un regard désolé puis descendit de la voiture. Je fis descendre de l'auto ma monnaie d'échange et je m'approche avec lui des deux hommes. Ils avaient avec eux une valise noir. Le gros bonhomme fit un signe de la tête et le plus fin s'approcha.
-Bien, vous êtes venue, comme convenu.
-Oui. Et j'ai l'otage avec moi.
-Voyons ça.
L'homme s'approcha de mon otage et le regarda de fond en comble. Puis il revint vers moi.
-Il s'agit de la bonne personne. Voici votre argent.
Il me tendit la valise pendant que l'autre prenait le garçon sur son épaule comme un vulgaire sac de patates, avant de le mettre dans le coffre de son Audi.
Puis ils tournèrent les talons et allèrent dans la cabane de bois histoire de boire un coup pour fêter ça. J'avais refuser poliment leur invitation, prétextant de la fatigue. Je retournai à ma voiture et partit. Mais j'avais des remords. J'avais vu dans les yeux du garçon que j'avais enlevé une lueur de reproches et de suppliques. Mais il était dangereux de retourner là bas, et trop tard pour le récupérer maintenant. Pourtant, ma conscience ne me lâcha pas. Et je décidai de faire demi-tour.

Je restais suffisamment loin de l'endroit d'où je pouvais voir la voiture, sans pour autant la perdre de vue. Je vis avec mes jumelles les deux hommes sortir de la cabane. Ils entraient dans leur Audi et démarrèrent. Je les suivis de loin. Nous roulâmes ainsi pendant une bonne heure. Juste le temps d'arriver à un autre lac. Je m'arrêtais à bonne distance et descendis de voiture, puis sans quitter des yeux mon objectif et en faisant attention où je mettais les pieds, je me cachais derrière un rocher, de l'autre côté du lac. J'avais les pieds dans l'eau. J'enlevais mes chaussures et resta accroupie derrière le rocher, en observant silencieusement. Ma respiration s'accéléra lorsque les deux mafieux sortirent du coffre celui que j'avais amené à cette situation.

Ils lui parlèrent un moment, rigolant et le ruant de coups. Le pauvre garçon finit à terre, affaibli. Je n'entendais pas un seul mot de ce que les deux hommes en noir disaient. Je vis le plus costaud des deux prendre un énorme rocher et l'attacher au jeune homme. Puis le gros bonhomme le porta jusqu'à une barque et ils partirent tous les trois dans ma direction, un plus qu'au milieu du lac. Je regarde ma montre. Il n'est que onze heures du matin. Je trouve des tiges de roseau à côtés de moi. J'en détache une et m'approche doucement de l'endroit où ils vont lancer le pauvre garçon. Si j'avais su, je n'aurais pas accepté de le faire. Je m'approche donc doucement de la barque, ne respirant que par le bout de roseau. Je vois au dessus de moi les hommes jeter violemment le corps dans l'eau. J'avale une bouffée d'air par le tuyau de bois et je descends vers le garçon. Il essaye tant bien que mal de se détacher, mais bien sûr, il n'y arrive pas. Il me voit. Je lui fais signe que je vais l'aider. Je m'approche et l'attrape par la taille. Je lui enlève son bâillon que j'avais moi-même mis. Je l'emmène vers la surface, mais pas totalement. Je le laisse prendre une bouffée d'air avec mon bout de roseau. Il n'a pas d'autre choix que de se laisser faire. Je respire à mon tour une gorgée d'air, puis j'entraîne vers ma cachette le jeune homme. Avant de sortir la tête de l'eau je le refais respirer un coup, avant de regarder subtilement où sont les deux autres. Ils n'ont pas eu un seul regard en arrière et sont déjà de l'autre côté en train de débarquer. Je retourne sous l'eau et fais signe à mon voisin de ne pas faire de bruit. Puis je le tire vers l'air libre derrière le rocher. Avant qu'il ne dise un mot, je lui plaque ma main contre la bouche en disant à nouveau «chut» avant de lui montrer l'autre côté du lac. Par chance il comprend et ne dis rien. Il observe silencieusement les deux hommes remonter dans leur Audi et s'en aller. Plus sereine, je commence à détacher le rocher de ses chevilles. Il me regarde, étonné.

-Pourquoi m'avoir sauvé la vie, alors que tu venais de m'enlever?
-Je ne sais pas, une prise de conscience de l'absurdité de mon action.
-Mouais... Tu pourrais me détacher.
-Oui, mais avant ça, je voudrais savoir deux trois petites choses. Déjà comment tu t'appelles?
-Bartłomiej. Et toi?
-Moi? C'est Lénaïc. Bref. Deuxième question. Qu'est ce qu'ils avaient contre toi ces gars là?
-Mmmm. A vrai dire... Je devais faire quelque chose pour eux que j'ai refusé de faire. Ils font partis de la mafia. Et forcément, quelqu'un qui ne leur obéit pas, ça ne leur plait pas. Ça c'était leur vengeance.
-Est ce que tu veux prévenir ta famille que tu vas bien?
-Hein? Oh, heu ben pas tout de suite. Je ne veux pas qu'ils s'inquiètent, mais je ne veux pas non plus qu'ils aient des ennuis. Mais c'est gentil.
-Bon je vais te détacher alors. Mais reste près de moi. Je te promets de ne pas te faire de mal.
-D'accord.
Je détachais donc Bartłomiej. Il avait les marques des coups qu'il avait reçu et grimaça lorsque je touchais un de ses nombreux bleus. Puis ayant terminé d'enlever ma propre corde, je l'aidai à se relever. Il me remercia et fis un pas...avant de s'arrêter.
-Ben qu'est ce qu'il y a ?
-Je crois que je me suis fait mal à la cheville..
-Fais voir.
Je le fis s'assoir et soulevais le bas de son pantalon. Sa cheville droite était rouge et gonflée.
-Je crois que tu t'es fait une entorse...

Bartek ne disait rien, mais je voyais bien à son regard que cette nouvelle était loin de l'enchanter. Je l'aidais à se relever et pris son bras pour le passer par dessus mes épaules. Il pouvait ainsi marcher sans trop appuyer sur sa jambe blessée. Au bout d'une heure, nous nous arrêtons enfin à ma voiture. Je commence à avoir faim. Lui aussi. Je démarre la voiture et je me rends chez moi. Personne. Ça tombe très bien. J'aide de nouveau le jeune homme à descendre de voiture et à marcher jusqu'à chez moi. Après quoi je prépare quelque chose à manger pour nous deux. Bartek est content. Il peux enfin manger et se reposer. Je lui propose de dormir un peu. Il ne refuse pas et je l'emmène dans ma chambre pour qu'il puisse se reposer comme il faut. Il dort pendant bien une heure et demi. Lorsqu'il se réveille, je pars chercher ma trousse de pharmacie. Ayant déjà eu des entorses à la cheville, je retrouve mon attelle et je lui donne. En attendant je m'occupe de tous ses bleus. Il en a beaucoup. Puis je lui demande s'il veut faire un tour à l'hôpital. Mais il refuse. Il préfère rester ici en attendant que les deux mafieux soient loin. Ce n'est pas gagné. Je regarde à côté de moi. Il y a la valise noire. Je soupire. Cet argent, je n'en veux plus tant que ça. Bartłomiej me regarde. J'ouvre la valise et je prends une partie de l'argent que je lui tends. Il n'en veut pas. Désabuse, je ne sais plus quoi en faire, lorsqu'il me propose de le donner à une association. Je hoche de la tête. C'est une excellente idée. Je le ferai dès le lendemain.




C'est pas encore fini.... je le mettrai plus tard la suite
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Sheimi♫




Messages : 39
Date d'inscription : 02/08/2010

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MessageSujet: Re: Ma journée en tant que kidnappeuse   Ma journée en tant que kidnappeuse Icon_minitimeMer 1 Sep - 9:59

Pas mal!
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